Vers l’apaisement éternel

La mort est une réalité inévitable dans la vie, mais cela ne signifie pas que la perte d’un être cher est facile à accepter. En effet, la mort est la transition vers un repos éternel auprès du seigneur. C’est dans cette optique que la poésie funèbre apporte une certaine paix et une perspective sur l’éternité. Dans ce brief, vous en saurez plus.

Poèmes pour trouver la paix dans la mort

A lire aussi : Quelles boissons pour lutter contre la constipation ?

Les poèmes sur la mort peuvent sembler sombres et lugubres, mais ils peuvent aussi offrir une certaine paix et une compréhension du repos éternel. Par exemple, le poème de repos éternel « Death is Nothing at All » ou « la mort n’est rien du tout » de Henry Scott Holland rappelle que la mort n’est pas la fin. Pour lui, la mort est simplement une transition vers un autre état, vers le repos éternel auprès de Dieu.

De même, il y a aussi le poème « Do Not Stand at My Grave and Weep » ou « ne reste pas debout devant ma tombe et pleure » de Mary Elizabeth Frye. Ce poème nous rappelle que l’esprit de votre être cher reste toujours avec vous, même après son départ. Autrement dit, la mort permet d’aller vers la paix éternelle ou encore le repos éternel du seigneur.

A lire aussi : Calopsitte prix : guide d'achat et coût de l'oiseau de compagnie

Les poèmes les plus émouvants sur la perte d’un être cher

La perte d’un être cher est une douleur universelle qui peut être difficile à surmonter. Cependant, la poésie peut offrir une certaine consolation. Voici quelques exemples de poésies très émouvants.

La mort n’est qu’une transition

« La mort n’est qu’une transition,

J’ai juste changé de pièces.

Nous sommes toujours ce que nous étions,

Toi comme moi.

Appelle-moi par le prénom que tu m’as toujours appelé,

Discute avec moi comme d’habitude,

Ne change pas de ton,

Ne sois pas triste.

Prie, vit, fais-le comme d’habitude,

Continuez de prononcer mon prénom chez moi,

Sans aucun air solennel,

Sans tristesse.

La vie continue d’être ce qu’elle était,

Rien n’a changé,

Je suis juste devenu invisible.

Je suis là, à t’attendre

Tout juste du second côté de la rivière.

Voilà, tout est parfait. »

Ne reste pas debout devant ma tombe et pleure

« Ne te pointe pas devant ma tombe avec un air abattu,

Il n’y a personne,

Je suis la rime de tes chants préférés,

Je suis le soleil et la lune que tu vois chaque jour,

Je suis cette pluie dont tu aimes beaucoup les gouttes,

À chacun de tes beaux réveils,

Je suis l’envol des oiseaux qui planent haut dans le ciel,

Pour ce faire, ne te fige pas devant une tombe vide,

Puisque je n’y suis pas, suis avec toi. »

La beauté de l’éternité dans la poésie funèbre

La poésie funèbre peut également offrir une certaine beauté à l’aspect lugubre donné à la mort. Les poèmes comme « Crossing the Bar » d’Alfred Tennyson et « Because I could not stop for Death » d’Emily Dickinson célèbrent la transition vers le repos éternel. En utilisant des images poétiques et des métaphores, ces auteurs montrent dans leurs poèmes ou livres que la mort est la transition vers l’apaisement.

Ainsi, ces poèmes rappellent que la mort peut être paisible, belle, et elle est un repos auprès de Dieu. La mort n’est donc pas si effrayante et sombre !